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2005 |
1. | |
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6. | Simplement Beau |
7. | Arrêtons Là |
8. | Tu Lui Ressembles |
9. | À Genoux |
10. | N'Oublie Pas |
11. | La Boîte Aux Lettres |
12. | Marlène |
13. | Tout Ce Que L'On Est |
14. | Je Ne Serai Jamais |
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Si on chantait plus fort
Et plus fort encore
Si nos voix nos accords
Changeaient le décor
Sur les frontières, de jolis airs
Nos religions, des unissons
Drapeaux moins hauts, pianissimo
Aux champs d'bataille, les champs des bals
Refrain
Douces violences, au pas des danses
A nos guitares, les pleins pouvoirs
Si on chantait toujours
Au lieu des tambours
Les chants des troubadours
Mieux que les discours
Refrain
Bareaux prisons, au violon
Aux camisoles, des clés de sol
Explose le décor
Si nos voix suffisaient
SI les chansons pouvaient
Si les chansons pouvaient
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De l'eau
D'un geste sans y penser
Sans sol à creuser
Du chaud
Sans braise ni cheminée
Sans arbre à couper
Du facile
Du futile
Sans malheur
Puéril
A chacun son lot de douleurs
Mais toutes les peines
Toutes les haines d'où qu'elles viennent
A quoi servent-elles
Toutes les peines Les fêlures endormies
Oh toutes les peines
Toutes les mêmes éternelles
A quoi riment-elles?
Tout ce qui saigne
Nos infimes agonies
Des jeux
Sur écran
Plat du virtuel
Et des couleurs
Du mieux
De l'argent
Du sucré
Noël à toutes les heures
Champ de mine
On se débine
Jusqu'au jour
Où tout s'écroule
Fragile à ton tour
... ton tour
Mais toutes les peines
Toutes les haines d'où qu'elles viennent
A quoi servent-elles
Toutes les peines
Nos fêlures endormies
Oh toutes les peines
Toutes les mêmes éternelles
A quoi riment-elle ?
Tout ce qui saigne
Ces infimes agonies
Mais toutes ces peines
Ces gangrènes
Lourdes au ciel qui saigne en leur coeur
Donnent-elle à nos paix les valeurs
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Y'a pas de mot pour le dire
Un peu plus et ce sera pire
Décrocher la lune si je n'ose
Craindre les heures qui s'enterrent
Celles qui sonnent toujours plus fières
Balancer les dires et les choses
Il parait que dans un idéal
Je t'emmène en cavale
Prisonnier du temps qui passe
Il parait que c'est un drôle de jeu
Qu'on ne peut faire qu'à deux (bis)
A toujours courber l'échine
A renier son origine
Pendu sur terre en overdose
Refrain
Il parait que c'est un drôle de jeu
Qu'on ne peut faire qu'à deux
Prisonnier du temps qui passe
S'avouer que plus rien ne menace en face
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Quatre mots sur un piano, ceux qu'elle a laissés
Quatre c'est autant de trop, je sais compter
Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés
Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais
Cas très banal, cliché, dénouement funeste
Trois moins deux qui s'en vont, ça fait moi qui reste
Caresses, égards et baisers, je n'ai pas su faire
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer
Moi j'aurais tout fait pour elle, pour un simple mot
Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Etait-elle trop belle ou suis-je trop sot ?
N'aime-t-on jamais assez ?
Quatre années belles à pleurer, maigre résumé
Cartes jouées mais la reine s'est cachée
Quatre millions de silences, de regrets qui dansent
Les questions, les soupirs et les sentences
Je préférais ses absences
Moi j'aurais tant fait pour elle, pour boire à son eau
Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Mais était-elle trop belle, ou bien nous trop sots ?
N'aime-t-on jamais assez
Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour
Vous deux, nouez, filiez mon parfait amour
Un matin vous m'avez condamnée à choisir
Je ne vous aimais qu'à deux
Je vous laisse, adieu
Choisir serait nous trahir
Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais ?
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer
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Quand les rhums succombent au fond des bars
Les vieux marins racontent au bout du soir
Evangile ou contrebande ou vraies histoires ?
Cette ancienne légende je préfère y croire
Yoenaï mi femme, mi sirène haha
Qui la croise se perd haha
Au fond des océans
Yoenaï te charme et puis t'entraine haha
Que les dieux t'en protègent haha
Diable de l'océan
On dit que son regard est un adieu
Si tu la croises, gare ! (ho) baisse les yeux
Qu'un bateau disparaisse, on la supplie
Entre larme et détresse, on la maudit
Refrain
Yoenaï
Mi ange mi démone haha
Ensorcelle les hommes haha
Epargne nos enfants ......
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