. . .
|
|
Oh oh tu dors peut-être
Moi je ne peux pas
Par la fenêtre
J'vois la terre en bas
Ici tout me dépasse
Même le silence
Et les aiguilles qui passent
Sur ton absence
A quoi tu rêves
As-tu des envies
Connais-tu la fièvre
As-tu des envies
Le monde est tellement con
Qu'j'ai envie de partir d'ici
M'en aller sans raison
Ne plus donner signe de vie
Respirer d'autres bars
Essayer d'autres lits
Me perdre par hasard
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Je sais que c'est ridicule
Mais c'est plus fort que moi
J'me déambule
Tout tourne autour de moi
Et si tout me dépasse
C'est qu'je suis un lâche
Comme ces aiguilles qui passent
Autant qu'il nous détache
Le monde est tellement con
Qu'j'ai envie de partir d'ici
M'en aller sans raison
Ne plus donner signe de vie
Respirer d'autres bars
Essayer d'autres lits
Me perdre par hasard
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Oh oh tu dors peut-être
Moi je ne peux pas
Par la fenêtre
J'vois la terre en bas
Le monde est tellement...
Le monde est tellement con
Qu'j'ai envie de partir d'ici
M'en aller sans raison
Ne plus donner signe de vie
Respirer d'autres bars
Essayer d'autres lits
Me perdre par hasard
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
. . .
|
|
Salut tu tombes bien
Je parle à quelqu'un
J'sais pas comment tu t'appelles
Mais viendras-tu si un jour je t'appelle
Presque plus personne
Que des téléphones
T'as pas la moitié de moi
Si tu la trouves ne garde pas ça pour toi
Faut monter dans le train
Tout au bout de nos peines
C'est un petit matin
C'est l'aventure humaine
Faut taper dans les mains
Tout au bout des "je t'aime"
C'est un petit chemin
C'est l'aventure humaine
Ouh ouh l'aventure humaine
J'irai jusqu'au bout
Si je tiens debout
J'veux juste donner du cŒur
A cet ouvrage qui ressemble au bonheur
Vivre simplement
Se sentir vivant
Et les enfants de nos rêves
Auront la fleur du sourire sur les lèvres
Faut monter dans le train
Tout au bout de nos peines
C'est un petit matin
C'est l'aventure humaine
Faut taper dans les mains
Tout au bout des "je t'aime"
C'est un petit chemin
C'est l'aventure humaine
Ouh ouh l'aventure humaine
Tu sais l'âme et le corps
Il faudrait se les donner
Si jamais je m'endors
Tu peux me réveiller
Si tu sens qu'il est l'heure
De passer à l'amour
Salut tu tombes bien
Je parle à quelqu'un
J'sais pas comment tu t'appelles
Mais viendras-tu si un jour je t'appelle
Faut monter dans le train
Tout au bout de nos peines
C'est un petit matin
C'est l'aventure humaine
Faut taper dans les mains
Tout au bout des "je t'aime"
C'est un petit chemin
C'est l'aventure humaine
Ouh ouh l'aventure humaine
. . .
|
|
[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu marches, tu marches vers moi.
[Marc]
Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu penses, tu penses à toi.
[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu sais que je sais pas.
[Marc]
Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu dis, tu dis je crois.
[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu ris, tu ris de quoi?
[Marc]
Qu'est ce que t'es belle
Quand tu doutes, tu doutes de toi.
[Marc]
Le soleil est là, le soleil est là, aide-moi.
[Catherine]
Le soleil est là, cache-toi dans mes bras.
[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu parles, tu parles de quoi?
[Marc]
Qu'est ce que t'es belle
Quand t'as peur t'a peur de toi.
[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu rêves tu rêves à quoi?
[Marc]
Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu penses, tu penses à moi
[Marc]
Le soleil est là, le soleil est là, aide-moi.
[Catherine]
Le soleil est là, cache -toi dans mes bras.
Dans mes bras.
. . .
|
|
Ma jonque est jaune
Jaune jonquille à faire pleurer l'automne
Ma jonque est jaune
J'en connais qui s'en étonnent
Ma jonque est jaune
Jaune jonquille de Manille à la quille
Elle me torpille
De regard feu des dragonnes
Porté par des vagues de jade
J'ai déjà du vague à l'âme
Dansez moi javanaise
Sur les falaises
De nos jadis
Ma jonque est jaune
Jaune jonquille à faire trembler les ormes
Ma jonque est jaune
J'en connais que ça désarme
Ma jonque est comme
Les mers qu'on traverse au pied de l'opium
Là sur ma natte
Mes pensées l'habillent d'agate
En attendant le sampan
Je fais les 100 pas
Sous un ciel de safran
Je me sens pas
Pas si souffrant
Dans la vase s'abîment
Des faïences et des ming
En avant la machine
Au vent salé
J'me laisse aller
Ma jonque est jaune
Jaune jonquille à rajeunir les hommes
Ma jonque est jaune
Petite esquisse à la gomme
Ma jonque est jaune
Jaune jonquille à faire rougi l'automne
Ma jonque est jaune
Jaune à rajeunir un homme
Ma jonque est jaune.
. . .
|
|
Si ça te plaît ça me fait plaisir
De te baiser la bouche
Et puis te faire rougir
Si c'est meilleur
Tu sais souvent que c'est pire
Tellement serré tellement
Il faut tellement se retenir
Oh flirt ma petite flirt
Tu tu me pousses au flirt au flirt au
Flirt j'ai les nerfs à flirt
Si ça te dit mon coeur
De ne pas tout dire
Tu veut jouer les fillettes
Semblant de dormir
A la bonne heure bonheur
Ca ça me fait bondir
Ne plus jamais jamais jamais
Ne plus jamais grandir
Oh flirt ma petite flirt
Tu tu me pousses au flirt au flirt au
Flirt j'ai les nerfs à flirt
Adieu mon amour adieu mon amour
Je risquerais d'en mourir
Si ça te dit coquine
De me faire durcir
Petite souris à petit sourire
Amateur de toi je ne sais pas mentir
Des heures d'envie des heures
D'envie de désir
Oh flirt ma petite flirt
Tu tu me pousses au flirt au flirt au
Flirt j'ai les nerfs à flirt
Adieu mon amour adieu mon amour
Je risquerais d'en mourir
Si ça te plaît ça me fait plaisir
De te baiser la bouche
Et puis te faire rougir
Si c'est meilleur
Tu sais souvent que c'est pire
Tellement serré tellement
Il faut tellement se retenir
Oh flirt ma petite flirt
Tu tu me pousses au flirt au flirt au
Flirt j'ai les nerfs à flirt
Oh flirt ma petite flirt
Tu tu me pousses au flirt au flirt au
Flirt j'ai les nerfs à flirt
. . .
|
|
Nu Nu Nu Nu Nu
Se dire des choses en dessous de la ceinture
Sentir ta rose roser la nature
Pour s'lécher la vitrine pas besoin de vitamines
Pour une cause imbécile heureux
Se faire des choses en dessous de la ceinture
Rester tel quel, suivre sa nature
Chaussures délassées, dans le pré se prélasser
Amoureux comme des imbéciles heureux
Nu nu nu nu nu
Se dire des choses en dessous de la ceinture
Tenir la pose, doubler c'est plus sûr
On s'rembobine le machin dans la machine
Amoureux comme des imbéciles heureux
Tout nu rêver
Tout nu marcher
Sur des océans bleus
Nu tout nu tous les deux
Ce soir la vie est un jeu
Tout nu tous les deux
Se dire des choses en dessous de la ceinture
Je te propose de nouvelles aventures
Pas de soucis ni de mille et une nuits
Amoureux comme des imbéciles heureux
Se faire des choses en dessous de la ceinture
Trouver la dose au fur et à mesure
On s'acoquine on se fait la cuisine
Amoureux comme des imbéciles heureux
Nu nu nu nu nu
Je veux des bises des bisous
Des baisers dans le cou
Je veux des bises des bisous
Des baisers dans le cou
Des bises des bisous
Des baisers dans le cou
Des baisers des baisers partout
Tout nu rêver
Tout nu voler
Sur le soleil de feu
Tout tout nu tous les deux
Ce soir la vie est un jeu
Tout nu tous les deux
Nu nu
Se dire des mots roses, doux, purs
Oublier ses angoisses
Assumer le temps qui passe
Amoureux comme des imbéciles heureux
Je veux des bises des bisous
Des baisers dans le cou
Je veux des bises des bisous
Des baisers dans le cou
Des bises des bisous
Des baisers dans le cou
Des baisers des baisers partout
. . .
|
|
J'ai besoin de rythme et de blues
Ton coeur qui s'agite sous ta blouse
De quoi s'agit-il dis-moi vite
Si tu m'attires si tu m'invites
A danser le rythme et le blues
Sous les vibrations de ta blouse
Tes appels de fard à paupières
Aveuglent mes yeux grands ouverts
Echange moi contre toi
Echange toi contre moi
Echange moi contre toi
Tout... Tout contre toi
Echange moi contre toi
Echange toi contre moi
Echange moi contre toi
Tout... Tout contre toi
Toi tu es le rythme et le blues
Je suis à côté de mes shoes
Tu es un mythe et je t'adore
Tu m'excites et tu me dévores
Apprends-moi le rythme et le blues
Prends-moi dans ta peau je t'épouse
Apprends-moi le tempo physique
Tes premières pulsations rythmiques
Echange moi contre toi
Echange toi contre moi
Echange moi contre toi
Tout... Tout contre toi
Echange moi contre toi
Echange toi contre moi
Echange moi contre toi
Tout... Tout contre toi
. . .
|
|
Interview je dis I love you
En public je saigne érotique
Boîte de nuit tout aussi sexy
Quand les filles me déshabillent
Je m'éparpille
Les dealers je connais par coeur
Sur la place je regarde en face
Dans les yeux j'me trouve malheureux
Dans la frime où je déprime
Je suis sublîme
Fabrique fabrique fabrique
Je tourne en carré
Fabrique fabrique fabrique
Je mens la vérité
Fabrique fabrique fabrique
Je play back complet fabrique
Les mains sales je suis un scandale
Je pose nu dans les bouquins d'cul
J'suis pas rock
Mais je baisse mon froc
Limousine Paris divine
Tu m'aspirines
Fabrique fabrique fabrique
Je tourne en carré
Fabrique fabrique fabrique
Je mens la vérité
Fabrique
Interview je dis I love you
En public je saigne érotique
. . .
|
|
Tu disais que c'était provisoire
Et j'étais d'accord
Tu ne rentrais pas tous les soirs
C'était nos accords
Le jour où tu es parti
Je n'ai pas réalisé
Je n'ai pas beaucoup dormi
Je t'attendais...
Tu es belle, si tu veux le savoir
Infidèle, si tu veux le savoir
Et si je traîne, comme tu peux le voir
C'est que je t'aime, si tu veux le savoir
Ça va y a pas d'mal, ça va y a pas d'mal
Ça va y a pas...
On se quitte avant qu'on s'arrache
C'était compliqué
Tu disais faut pas qu'on s'attache
C'était déjà fait
Le jour où tu as dis ça
Je n'ai pas réalisé
Je t'attendais...
Tu es belle, si tu veux le savoir
Infidèle, si tu veux le savoir
Et si je traîne, comme tu peux le voir
C'est que je t'aime, si tu veux le savoir
Ça va y a pas d'mal, ça va y a pas d'mal
Ça va y a pas...
. . .
|
|
VOCAL : Lââm/Julien Clerc/Marc Lavoine
Reprise Jacques Lanzmann/Jacques Dutronc
Je l'ai trouvée au petit matin, toute nue dans mes grands souliers.
Placée devant la cheminée, pas besoin de vous faire un dessin.
De battre mon coeur s'est arrêté, sur le lit j'ai jeté mon fouet.
Et tout contre elle je me suis penché et sa beauté m'a rendu muet.
Fatigué, j'ai la gueule de bois, toute la nuit j'avais aidé mon père.
Dans le feu, j'ai remis du bois, dans la ch'minée y'avait pas mon père.
C'était la fille du Père Noël
J'étais le fils du Père Fouettard.
Elle s'appelait Marie-Noëlle
Je m'appelais Jean-Balthazar.
Je prends la fille dans mes bras et elle me dit "Mais non Balthazar !"
"Ne fais donc pas le fier-à-bras, je suis tombée là par hasard."
Toute la nuit j'avais fouetté à tour de bras les gens méchants.
Toute la nuit elle avait donné des cadeaux à tous les enfants.
C'était la fille du Père Noël
J'étais le fils du Père Fouettard.
Elle s'appelait Marie-Noëlle
Je m'appelais Jean-Balthazar.
Descendue chez moi par erreur, elle était là dans mes souliers.
Mais comme je n'pouvais prendre son coeur, je l'ai remise sur le palier.
C'était la fille du Père Noël
J'étais le fils du Père Fouettard.
Elle s'appelait Marie-Noëlle
Je m'appelais Jean-Balthazar.
C'était la fille du Père Noël
J'étais le fils du Père Fouettard.
Elle s'appelait Marie-Noëlle
Je m'appelais Jean-Balthazar.
C'était la fille du Père Noël
J'étais le fils du Père Fouettard.
Elle s'appelait Marie-Noëlle
Je m'appelais Jean-Balthazar.
. . .
|