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Marc Lavoine




Альбом Marc Lavoine


C'est ça Lavoine (2001)
2001
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Amie
8.
9.
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
On N'Ira Jamais A Venise
17.
18.
19.
. . .


Un peu spéciale, elle est célibataire
Le visage pâle, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
Elle se dessine sous des jupes fendues
Et je devine des histoires défendues
C'est comme ça
Tell'ment si belle quand elle sort
Tell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, m'a touché, c'est foutu
Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, elle m'a touché, c'est foutu

Un peu larguée, un peu seule sur la terre
Les mains tendues, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
A faire l'amour sur des malentendus
On vit toujours des moments défendus
C'est comme ça
Tell'ment si femme quand elle mord
Tell'ment si femme, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, m'a touché, c'est foutu
Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, elle m'a touché, c'est foutu

Son corps s'achève sous des draps inconnus
Et moi je rêve de gestes défendus
C'est comme ça
Un peu spéciale, elle est célibataire
Le visage pâle, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
Tell'ment si femme quand elle dort
Tell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, m'a touché, c'est foutu
Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, elle m'a touché, c'est foutu

. . .


Une fille aime un garçon
Dans une voiture volée
Près d'une ville bidon
Sur une zone en danger

Terrain vague amarré
A la cité romaine
Comme un fou décoiffé
Déshabille une reine

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
La folie les mélange
C'est la nuit qui les change
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour, ont fait l'amour

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
Quand leurs corps se mélangent
Dans la lumière étrange
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour
Sur le parking des anges

Lui il a sur sa peau
Tatoué le nom de l'autre
Elle lui dit qu'il est beau
Qu'elle en aimera pas d'autres

Elle c'est une trafiquante
D'amour c'est son métier
Mais ce soir c'est l'amante
D'un garçon recherché

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
La folie les mélange
C'est la nuit qui les change
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour, ont fait l'amour

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
Quand leurs corps se mélangent
Dans la lumière étrange
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour
Sur le parking des anges

Les hommes sont arrivés
Avec l'éclat du jour
Le temps s'est arrêté
Suspendu pour toujours

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
La folie les mélange
C'est la nuit qui les change
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour, ont fait l'amour

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
Quand leurs corps se mélangent
Dans la lumière étrange
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour
Sur le parking des anges

. . .


Je te donne toutes les Cadillac civiles
Tous les dîners chez Maxime
Tous les cinq étoiles de la ville,
Avec terrasse et piscine
Je donne ma Rollex, mon smoking
Et mes paires de boots en lézard
Un Mystère 20 et deux BŒing
Tout l'or, tout l'argent, tout l'ivoire

Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi
Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi

Je donne toutes les îles désertes
Et tous les palmiers sur la côte
Et la combinaison secrète
Pour ouvrir les coffres et la porte
Je donne les villas bord de mer
Et toutes les toiles de Picasso
Je donne à tort et à travers
Mon temps, ma vie et mon cerveau

Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi
Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi

Du du du du du...

Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi
Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi

Je donne mon paquet de cigarettes
Ma chemise à fleurs, mon kimono
Mes plans secrets et mes plantes vertes
J'offre croisière avec radeau
Je donne mon lit, ma brosse à dents
Mon esprit tordu mais sincère
Mes tickets de bus et restaurant
Je donne tout devant moi derrière

Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi
Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi

Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi
Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi

. . .


Fragile au fond de nos voix
Quand on dit je t'aime, je crois
Frêle la folle espérance
Le vrai de l'enfance qu'on oublie parfois
Faibles nos idées nouvelles
Pour rendre plus belle la vie du sans joie
Les lettres jamais reçues
Celles jamais envoyées, pourquoi ?

J'voulais simplement t'apprendre à compter sur moi
Oh j'voulais simplement que t'apprennes à compter avec moi
Sur le bout de nos doigts

Courir dans les tournesols
Marcher dans les champs de blé
Retrouver les parasols
Et le goût des nuits d'été
Les chevaux qui caracolent
Les souvenirs les démêlés
Et les pastilles de menthol
Le goût de la liberté

Mince la chance qui nous reste
Hein, Hein, hum hum, saisissons la quand même
Maigre comme une hirondelle, petite hirondelle
Que l'hiver fait mourir
Petite possibilité de sentir encore
Quelque chose de chaud
Cette minuscule résistance
Qui fait quand même bouger les choses

Courir dans les tournesols
Marcher dans les champs de blés
Retrouver les parasols
Et le goût des nuits d'été
Les chevaux qui caracolent
Comme des parents qu'ont mal tourné
Et les pastilles de menthol
Le goût de la liberté

Courir dans les tournesols
Marcher dans les champs de blé
Retrouver les parasols
Et le goût des nuits d'été
Les chevaux qui caracolent
Les souvenirs, les démêlés
Et les pastilles de menthol
Le goût de la liberté
Le goût de la liberté
Le goût de la liberté

. . .


Ça boit le petit noir ou le petit vin blanc
Ça cherche la bagarre et du boulot souvent
Ça lève le poing, ça bouge, ça manifestationne
Ça sort tous les samedis dépenser son pognon

C'est ça la France
Du chili dans les gamelles et du vin dans les bidons
C'est ça la France
Du laguiole à l'opinel, partager les saucissons
C'est ça la France
On est tous des frères selon les déclarations
Enfin, je pense, faut jamais les oublier
Les trois qui terminent en Té

Ça fait de l'huile d'olive et du couscous poulet
Ça trinque à la pétanque, au comptoir, chez marseille
Ça Brassens à tout va, c'est beau les seins d'une fille
Ça camembert, le chinois, ça frise à la bastille

C'est ça la France
Du chili dans les gamelles et du vin dans les bidons
C'est ça la France
Du laguiole à l'opinel, partager les saucissons
C'est ça la France
On est tous des frères selon les déclarations
Enfin, je pense, faut jamais les oublier
Les trois qui terminent en Té

Ça avale son vichy et ça Dreyfus la joie
Jean Moulin Rouge aussi, Pierre Bérégovoy
Sa liberté de la presse, c'est pas qu'une impression
Le plus souvent ça O.S. chez renault, chez citron

C'est ça la France
Du chili dans les gamelles et du vin dans les bidons
C'est ça la France
Du laguiole à l'opinel, partager les saucissons
C'est ça la France
On est tous des frères selon les déclarations
Enfin, je pense, faut jamais les oublier
Les trois qui terminent en Té

Ça flique quand même pas mal, ça repasse à tabac
Ça chauffe un peu dans les bals, je rentre à la casbah
Ça bouche sur les périphs, ça rôde encore la nuit
Ça fait des hiéroglyphes et ça fait des petits

C'est ça la France
Du chili dans les gamelles et du vin dans les bidons
C'est ça la France
Du laguiole à l'opinel, partager les saucissons
C'est ça la France
On est tous des frères selon les déclarations
Enfin, je pense, faut jamais les oublier
Les trois qui terminent en Té

C'est ça la France
C'est ça la France
C'est ça la France
Enfin, je pense

. . .


Oh oh tu dors peut-être
Moi je ne peux pas
Par la fenêtre
J'vois la terre en bas
Ici tout me dépasse
Même le silence
Et les aiguilles qui passent
Sur ton absence
A quoi tu rêves
As-tu des envies
Connais-tu la fièvre
As-tu des envies

Le monde est tellement con
Qu'j'ai envie de partir d'ici
M'en aller sans raison
Ne plus donner signe de vie
Respirer d'autres bars
Essayer d'autres lits
Me perdre par hasard
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis

Je sais que c'est ridicule
Mais c'est plus fort que moi
J'me déambule
Tout tourne autour de moi
Et si tout me dépasse
C'est qu'je suis un lâche
Comme ces aiguilles qui passent
Autant qu'il nous détache

Le monde est tellement con
Qu'j'ai envie de partir d'ici
M'en aller sans raison
Ne plus donner signe de vie
Respirer d'autres bars
Essayer d'autres lits
Me perdre par hasard
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis

Oh oh tu dors peut-être
Moi je ne peux pas
Par la fenêtre
J'vois la terre en bas
Le monde est tellement...

Le monde est tellement con
Qu'j'ai envie de partir d'ici
M'en aller sans raison
Ne plus donner signe de vie
Respirer d'autres bars
Essayer d'autres lits
Me perdre par hasard
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis

. . .

Amie

[Нет текста]

. . .


[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu marches, tu marches vers moi.
[Marc]
Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu penses, tu penses à toi.

[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu sais que je sais pas.
[Marc]
Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu dis, tu dis je crois.

[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu ris, tu ris de quoi?
[Marc]
Qu'est ce que t'es belle
Quand tu doutes, tu doutes de toi.

[Marc]
Le soleil est là, le soleil est là, aide-moi.
[Catherine]
Le soleil est là, cache-toi dans mes bras.

[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu parles, tu parles de quoi?
[Marc]
Qu'est ce que t'es belle
Quand t'as peur t'a peur de toi.

[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu rêves tu rêves à quoi?
[Marc]
Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu penses, tu penses à moi

[Marc]
Le soleil est là, le soleil est là, aide-moi.
[Catherine]
Le soleil est là, cache -toi dans mes bras.
Dans mes bras.

. . .


Je marche dans tes rues
Qui me marchent sur les pieds
Je bois dans tes cafés

Je traîne dans tes métros
Tes trottoirs m'aiment un peu trop
Je rêve dans tes bistrots

Je m'assoie sur tes bancs
Je regarde tes monuments
Je trinque à la santé de tes amants

Je laisse couler ta seine
Sous tes ponts ta rengaine
Toujours après la peine

Je pleure dans tes taxis
Quand tu brilles sous la pluie
C'que t'es belle en pleine nuit

Je pisse dans tes caniveaux
C'est d'la faute à Hugo
Et j'picolle en argot

Je dors dans tes hôtels
J'adore ta tour Eiffel
Au moins elle, elle est fidèle

Quand j'te quitte un peu loin
Tu ressembles au chagrin
Ça m'fait un mal de chien

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Boul'vard des bouleversés
Paris tu m'as renversé
Paris tu m'as laissé

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Paris Paris tenu

Paris Paris perdu
Paris tu m'as laissé
Sur ton pavé

J'me réveille dans tes bras
Sur tes quais y a d'la joie
Et des loups dans tes bois

J'me glisse dans tes cinés
J'me perds dans ton quartier
Je m'y retrouverai jamais

Je nage au fil de tes gares
Et mon regard s'égare
J'vois passer des cafards sur tes bars

J'm'accroche aux réverbères
Tes pigeons manquent pas d'air
Et moi de quoi j'ai l'air

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Boul'vard des bouleversés
Paris tu m'as renversé
Paris tu m'as laissé

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Paris Paris tenu
Paris Paris perdu
Paris tu m'as laissé
Sur ton pavé

Je marche dans tes rues
Qui me marchent sur les pieds
Je bois dans tes cafés

Je traîne dans tes métros
Tes trottoirs m'aiment un peu trop
Je rêve dans tes bistrots

. . .


C'est vrai je fume trop
C'est vrai que je bois trop
Avec des gens qui parlent trop
Il est vrai que je traîne un peu trop !
C'est vrai je sors trop
C'est vrai je "..." trop
Ce soir, j'ai bu un ou deux verres de trop
Il est vrai que je t'aime un peu trop.

C'est vrai c'est trop, je le reconnais.
C'est vrai c'est beaucoup trop mais au moins c'est vrai.

Je m'sens si seul, tu me manques tant
Que j'écoute le souffle du vent
Tu me manques tant, j'me sens si seul
Que j'écoute everything, que j'écoute everything
Everything but the girl...

C'est vrai que j'en dis trop
C'est vrai que j'en fais trop
C'est vrai, c'est vrai je rêve trop
Il est vrai que je t'aime un peu trop.

C'est vrai c'est trop, je le reconnais.
C'est vrai c'est beaucoup trop mais au moins tu sais que c'est vrai.

Je m'sens si seul, tu me manques tant
Que j'écoute le souffle du vent
Tu me manques tant, j'me sens si seul
Que j'écoute everything, que j'écoute everything
Everything but the girl...

Je m'sens si seul, tu me manques tant
Que j'écoute le souffle du vent
Tu me manques tant, j'me sens si seul
Que j'écoute everything, que j'écoute everything
Everything but the girl...

. . .


Je pense à vous souvent
Je continue quand même
D'aimer les bateaux blancs
Que le désir entraîne
Je manque de vous souvent
Mais je m'en vais quand même
Laisser voler le vent
Qui souffle sur la peine

Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seul, depuis que je vous ai perdue
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon cŒur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses

Je rêve à vous souvent
Je me souviens de tout
Je me réveille à temps
Mais je vous vois partout
Je vous attends souvent
J'invente un rendez-vous
Vous n'avez plus le temps
Plus une minute à vous

Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seul, depuis que je vous ai perdue
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon cŒur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses

. . .


Tu disais que c'était provisoire
Et j'étais d'accord
Tu ne rentrais pas tous les soirs
C'était nos accords
Le jour où tu es parti
Je n'ai pas réalisé
Je n'ai pas beaucoup dormi
Je t'attendais...

Tu es belle, si tu veux le savoir
Infidèle, si tu veux le savoir
Et si je traîne, comme tu peux le voir
C'est que je t'aime, si tu veux le savoir
Ça va y a pas d'mal, ça va y a pas d'mal
Ça va y a pas...

On se quitte avant qu'on s'arrache
C'était compliqué
Tu disais faut pas qu'on s'attache
C'était déjà fait
Le jour où tu as dis ça
Je n'ai pas réalisé
Je t'attendais...

Tu es belle, si tu veux le savoir
Infidèle, si tu veux le savoir
Et si je traîne, comme tu peux le voir
C'est que je t'aime, si tu veux le savoir
Ça va y a pas d'mal, ça va y a pas d'mal
Ça va y a pas...

. . .


Tu n'oses pas te laisser faire,
Tu l'as jamais fait
Pourtant tu te couches parterre
En secret
Tu n'oses pas toucher ton corps
T'as peur de grandir
Pourtant le soir quand tu t'endors
Tu te fais rougir, tu te fais rougir

Bascule avec moi, bascule
Si tu as chaud en toi,
C'est l'amour qui te brûle
Si tu as chaud comme ça
Bascule avec moi, bascule
Si tu as chaud en toi,
C'est l'amour qui te brûle
Si tu as chaud comme ça
Bascule

Tu n'oses pas aller jusqu'au bout
tu l'as jamais fait
Pourtant tu te moques de tout
En secret
Tu n'oses pas donner ton corps
Ta peur de t'ouvrir
Pourtant le soir quand tu t'endors
tu te fais souffrir, tu te fais souffrir

Bascule avec moi, bascule
Si tu as chaud en toi,
C'est l'amour qui te brûle
Si tu as chaud comme ça
Bascule avec moi, bascule
Si tu as chaud en toi,
C'est l'amour qui te brûle
Si tu as chaud comme ça
Bascule

. . .


J'ai le cŒur qui traîne dans la rue Fontaine
et j'ai de l'eau, de l'eau dans les yeux
J'ai le cŒur qui traîne, laisse couler la Seine
J'ai le sourire, sourire malheureux

Oh tu sais je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore heureux
Je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore envie

Avant que tu t'en ailles,
Laisse-moi le temps de te regarder
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de me retourner
Avant que tu t'en ailles,
Laissons nos corps encore s'enlacer
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de te retrouver

J'ai le cŒur qui traîne, dans la rue Fontaine
Et j'ai de l'eau, de l'eau dans les yeux
J'ai le cŒur qui traîne, si j'ai de la peine
Si je suis à sang, à sang et à feu

Oh tu sais je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore heureux
Je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore envie

Avant que tu t'en ailles,
Laisse-moi le temps de te regarder
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de me retourner
Avant que tu t'en ailles,
Laissons nos corps encore s'enlacer
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de te retrouver

Oh tu sais je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore heureux
Je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore envie

Avant que tu t'en ailles,
Laisse-moi le temps de te regarder
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de me retourner
Avant que tu t'en ailles,
Laissons nos corps encore s'enlacer
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de te retrouver

. . .


Tu sais
Y'aura des hauts et des bas
Dans la peine ou dans la joie
On est si fragile
Toi et moi

Bien sûr
Les mots doux les coups durs
Grandir et faire les murs
Et quand tu partiras
Loin de moi

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je suis tout nu devant toi
Que le mal ne me fait plus mal
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans mes yeux
Tu verras...briller

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je t'aime au delà de moi
Que la vie ne me fait plus peur
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans tes yeux
Il y aura...

Dors
Sans penser à tout ça
Même si parfois tu m'en veux
D'être dans tes yeux
Un peu trop
Tu sais

Ca n'a pas d'importance
Et toutes ces blessures d'enfances
Font nos ressemblances
A toi et à moi

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je suis tout nu devant toi
Que le mal ne me fait plus mal
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans mes yeux
Tu verras...briller

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je t'aime au delà de moi
Que la nuit ne me fait plus peur
Mon tout petit amour
Et tant que dans tes yeux
Il y aura...

Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans nos yeux tu verras
Briller...

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je suis tout nu devant toi
Que la nuit ne me fait plus peur
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans tes yeux il y aura
Des étoiles

. . .

On N'Ira Jamais A Venise

[Нет текста]

. . .


Fais semblant
Fais semblant de me croire quand je parle
Fais semblant
De sourire à mes histoires que tu connais
Fais semblant
Quand on est là devant les gens, quand on sort
Fais semblant
Sinon vas-y, fais le vraiment
Fais semblant
Je fais mine de ne pas voir, tu comprends
Fais semblant
De penser qu'il reste un espoir, un semblant
Evidemment
Fais pareil devant les enfants, qui n'y sont pour rien
Fais semblant
Ou alors disparaît vraiment
Fais semblant
De rentrer tard de ton travail
Juste mens
Fais gaffe aux petits détails
Fais semblant
D'être un peu heureuse avec moi de temps en temps
Fais semblant
Sinon vas-y, fais le vraiment ou alors

Fais semblant, fais semblant
Fais semblant
Même si tu ne m'aimes pas, même pas
Maintenant
Pour sauver ce qui nous reste de vivant
Au moins prétends
Ne pas rester que pour l'argent, tu entends
Ou alors, ou alors disparais vraiment
Fais semblant, fais semblant
Fais semblant, fais semblant
Même si tu ne m'aimes pas, même pas
Fais semblant, fais semblant
Même si tu ne m'aimes pas, même pas
Fais semblant, fais semblant

. . .


Je prendrais pas les routes principales
Je prendrais le ferry pour passer la rivière
Je mettrais tout ce que j'ai de bien dans les malles
Plein d'espoir, pour demain, pas grand chose d'hier

Face à la mer sous la lune et l'étoile
Je verrais se noyer l'orange tout au fond
Regarder passer quelques bateaux sans voile
Il est bon quelques fois de respirer à fond

Tu me suffiras
Je me contenterais que de toi
Il suffira d'une petite étincelle
Pour que s'ouvre le ciel

J' te dirais pas que la vie est belle
Puisque tu sais que ça dure jamais
Y a plus que les neiges qui soient éternelles
Le repos, les regrets peut-être la paix

J'irais chercher sur le vent des montagnes
Cet air ancien que tout le monde connaît
Sacrées paroles, qui nous accompagnent
Entrer dans la lumière enfin pour de vrai

Tu me suffiras
Je me contenterais que de toi
Il suffira d'une petite étincelle
Pour que s'ouvre le ciel

Il suffira d'une petite étincelle
Pour que s'ouvre le ciel

J'irais chercher sur le vent des montagnes
Cet air ancien qu' tout le monde connaît
Sacrées paroles qui nous accompagnent
Entrer dans la lumière enfin pour de vrai

Tu me suffiras
Je me contenterais que de toi
Il suffira d'une petite étincelle
Pour que s'ouvre le ciel

Tu me suffiras
Je me contenterais que de toi
Il suffira d'une petite étincelle
Pour que s'ouvre le ciel

. . .


Tous les jours, je chante pour vivre à découvert
Oui je chante
Parfois je ris et je danse avec des souvenirs
Drôles de fantômes
Je n'ai plus rien à perdre, ce n'est rien
Il me reste toi

Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Comme un bateau sur le Nil
Et j'use mes souliers à force de te suivre

Tous les jours je change de coin, je plie mes affaires
Je me rase
Et puis dans l'air un parfum, tu n'es pas loin
Tu te laves
Je pense à tous les mots si jolis
Que je lisais sur tes lèvres

Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Comme un bateau sur le Nil
Et j'use mes souliers à force de te suivre

Je n'ai vraiment plus rien à perdre avec toi
Que de simples choses

Et j'use mes souliers à force de te suivre
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes

. . .


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