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Lara Fabian




Альбом Lara Fabian


Toutes les femmes en moi (25.05.2009)
25.05.2009
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Babacar (bonus track)
. . .


Oh, soleil soleil, soleil soleil, soleil soleil.

Quand le ciel sera moins gris, il me tendra les bras
Un jour comme un ami, il nous reviendra
Mais je veux déjà chanter pour toi

Oh, soleil soleil, soleil soleil, soleil soleil.
Oh, soleil soleil, soleil soleil, soleil soleil.

Viens, sors enfin de la nuit et l'hiver s'en ira
Viens, toi qui fais de la pluie un grand feu de joie
On n'attend que toi, réveille-toi

Oh, soleil soleil, soleil soleil, soleil soleil.
Oh, soleil soleil, soleil soleil, soleil soleil.
Oh, soleil soleil, soleil soleil, soleil soleil.
Oh, soleil soleil, soleil soleil, soleil soleil, soleil soleil.
Oh, soleil soleil, soleil soleil, soleil soleil, soleil soleil.
Je veux déjà chanter pour toi, soleil soleil.

. . .


J'ai douze ans maman
J'ai pas peur du sang
J'suis plus une enfant
Pour qui tu m'prends?
Faut que j'me dépêche de vivre ma vie maman
J'ai déjà trouvé mon premier cheveu blanc

J'ai douze ans maman
J'ai pas beaucoup de temps
J'sais pas si tu comprends
Comment j'me sens
Quand j'vois passer des fusées dans l'firmament
J'me dis qu'on va y goûter avant longtemps
Quand j'r'garde la télévision
On parle seulement de pollution
Et de surpopulation
Peut être que la bombe à neutrons
Ce sera l'meilleur remède
Contre la misère sur la terre

Naturellement
Tu r'gardes seulement les téléromans maman
Tu ne sais pas ce qui se passe dans l'univers

J'ai douze ans maman
J'ai besoin d'argent
J'pourrais m'prendre un amant
Comme dans ton temps
Qu'est-c'que j'vais faire?
Pour gagner ma vie maman
J'veux pas étudier pour rien jusqu'à trente ans

Aujourd'hui à l'école on nous a parlé
Des possibilités de vie
Dans les autres galaxies
Oui
On nous a aussi montré
Un film où l'on voyait
Comment copulent les libellules

C'est quoi la vie?
J'ai pas envie
D'avoir d'enfants maman
Faut que j'commence à prendre la pillule

J'ai douze ans maman
J'ai pas beaucoup de temps
J'sais pas si tu comprends
Comment j'me sens
Quand j'vois passer des fusées dans l'firmament
J'espère qu'un jour je pourrai partir dedans
J'ai douze ans maman

. . .


Une nuit je m'endors avec lui, mais je sais qu'on nous l'interdit
Et je sens la fièvre qui me mord sans que j'aie l'ombre d'un remords.
Et l'aurore m'apporte le sommeil, je ne veux pas qu'arrive le soleil.
Quand je prends sa tête entre mes mains
Je vous jure que j'ai du chagrin.

Et je me demande si cet amour aura un lendemain.
Quand je suis loin de lui, quand je suis loin de lui
Je n'ai plus vraiment toute ma tête, non.
Et je ne suis plus d'ici, ah ! Je ne suis plus d'ici
Je ressens la pluie d'une autre planète, d'une autre planète.

Quand il me serre tout contre lui, quand je sens que j'entre dans sa vie.
Je prie pour que le destin m'en sorte, je prie pour que le diable m'emporte
Et l'angoisse me montre son visage, elle me force à parler son langage
Mais quand je prends sa tête entre mes mains
Je vous jure que j'ai du chagrin.

Et je me demande si cet amour aura un lendemain.
Quand je suis loin de lui, quand je suis loin de lui
Je n'ai plus vraiment toute ma tête, non.
Et je ne suis plus d'ici, ah ! Je ne suis plus d'ici
Je ressens la pluie d'une autre planète, d'une autre planète.
Une autre planète, une autre planète...

. . .


Bien sûr, ce n'est pas la Seine,
Ce n'est pas le bois de Vincennes,
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.

Pas de quais et pas de rengaines
Qui se lamentent et qui se traînent,
Mais l'amour y fleurit quand même,
A Göttingen, à Göttingen.

Ils savent mieux que nous, je pense,
L'histoire de nos rois de France,
Herman, Peter, Helga et Hans,
A Göttingen.

Et que personne ne s'offense,
Mais les contes de notre enfance,
"Il était une fois" commence
A Göttingen.

Bien sûr nous, nous avons la Seine
Et puis notre bois de Vincennes,
Mais Dieu que les roses sont belles
A Göttingen, à Göttingen.

Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de Verlaine,
Eux c'est la mélancolie même,
A Göttingen, à Göttingen.

Quand ils ne savent rien nous dire,
Ils restent là à nous sourire
Mais nous les comprenons quand même,
Les enfants blonds de Göttingen.

Et tant pis pour ceux qui s'étonnent
Et que les autres me pardonnent,
Mais les enfants ce sont les mêmes,
A Paris ou à Göttingen.

O faites que jamais ne revienne
Le temps du sang et de la haine
Car il y a des gens que j'aime,
A Göttingen, à Göttingen.

Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cŒur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.

Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.

Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cŒur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.

. . .


Il venait d'avoir dix-huit ans
Il était beau comme un enfant, fort comme un homme.
C'était l'été évidemment et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne.

J'ai mis de l'ordre à mes cheveux
Un peu plus de noir sur mes yeux, ça l'a fait rire.
Quand il s'est approché de moi
J'aurais donné n'importe quoi pour le séduire.

Il venait d'avoir dix-huit ans, c'était le plus bel argument de sa victoire.
Il ne m'a pas parlé d'amour
Il pensait que les mots d'amour sont dérisoires.

Il me dit "J'ai envie de toi", il avait vu au cinéma "Le Blé En Herbe".
Au creux d'un lit improvisé, j'ai découvert émerveillée un ciel superbe.

Il venait d'avoir dix-huit ans
Ça le rendait presque insolent de certitude
Et pendant qu'il se rhabillait, déjà vaincue, je retrouvais ma solitude.

J'aurais voulu le retenir, pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste.
Il m'a dit "C'était pas si mal" avec la candeur infernale de sa jeunesse.
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux
Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude.
J'avais oublié simplement que j'avais deux fois dix-huit ans
Que j'avais deux fois dix-huit ans.

. . .


{Refrain:}
Oh Mamy ! Oh Mamy, Mamy blue
Oh Mamy blue ! {2x}
Où es-tu, où es-tu Mamy blue ?
Oh Mamy blue !

Je suis partie un soir d'été
Sans dire un mot, sans t'embrasser
Sans un regard sur le passé

Dès que j'ai franchi la frontière
Le vent soufflait plus fort qu'hier
Quand j'étais près de toi ma mère

{au Refrain}

Et aujourd'hui je te reviens
Oui, j'ai refait tout le chemin
Qui m'avait entraînée si loin

Tu n'es plus là pour me sourire
Me réchauffer, me recueillir
Et je n'ai plus qu'à repartir

{au Refrain}

Et le temps a passé
Et Mamy blue s'est en allée

La maison a fermé ses yeux
Le chat et les chiens sont très vieux
Et ils viennent me dire adieu

Je ne reviendrai plus jamais
Dans ce village que j'aimais
Où tu reposes désormais

Oh Mamy ! Oh Mamy blue !
Oh Mamy blue !

. . .


Qui peut dire les mots qu'on s'est jurés pour la vie entière ?
Ça m'fait rêver comme on y croyait.
Ce matin, j'ai beau chercher tes yeux pour trouver la lumière.
Tout se noie dans un brouillard épais, y'a quelque chose qui a changé.

Ça casse, on a beau vouloir faire
L'amour, c'est la guerre des plus amères qui nous enserre.
Ça casse comme un vase en cristal
Contre le métal, issue fatale, éclats d'étoiles.

Tout ce mal pour en arriver là, qu'est-ce qu'on va en faire ?
S'en défaire ou se le partager ?
Trop tard ou trop tôt, peut-on jamais revenir en arrière ?
Quand on ne vit plus que des regrets, y'a quelque chose qui a changé.

Ça casse, on a beau vouloir faire
L'amour, c'est la guerre des plus amères qui nous enserre.
Ça casse comme un vase en cristal
Contre le métal, issue fatale, éclats d'étoiles.

Ça casse, ça casse, ça casse, ça casse...

. . .


Je fréquentais alors des hommes un peu bizarres
Aussi légers que la cendre de leurs cigares.
Ils donnaient des soirées au château de Versailles.
Ce n'étaient que des châteaux de paille
Et je perdais mon temps dans ce désert doré.
J'étais seule quand je t'ai rencontré.
Les autres s'enterraient, toi tu étais vivant.
Tu chantais comme chante un enfant.
Tu étais gai comme un italien quand il sait qu'il aura de l'amour et du vin
Et enfin pour la première fois, je me suis enfin sentie...

Femme, femme, une femme avec toi.
Femme, femme, une femme avec toi.

Tu ressemblais un peu à cet air d'avant
Où galopaient des chevaux tout blancs.
Ton visage était grave et ton sourire clair.
Je marchais tout droit vers ta lumière.
Aujourd'hui quoi qu'on fasse, nous faisons l'amour.
Près de toi le temps paraît si court
Parce que tu es un homme et que tu es gentil
Et tu sais rendre belle nos vies.
Toi tu es gai comme un italien quand il sait qu'il aura de l'amour et du vin
C'est toujours comme la première fois, quand je suis enfin devenue...

Femme, oh ! Femme, une femme avec toi.
Femme, femme, une femme avec toi.
Femme, oh ! Femme, une femme avec toi.
Femme, oh ! Femme, une femme avec toi.
Femme, femme, une femme avec toi.

. . .


Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute, l'amour existe encore.
Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerais toutes pour m'ancrer à ton port.
La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route, je la mettrai dehors.

Pour t'aimer une fois pour toutes, pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court et met l'amour à mort.

Quand, quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute, l'amour existe encore, l'amour existe encore.

On n'était pas du même bord
Mais au bout du compte on s'en fout d'avoir raison ou d'avoir tort.
Le monde est mené par des fous
Mon amour, il n'en tient qu'à nous de nous aimer plus fort.

Au-delà de la violence, au-delà de la démence
Malgré les bombes qui tombent au quantre coins du monde.

Quand, quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute, l'amour existe encore, l'amour existe encore.
L'amour existe encore.

Pour t'aimer une fois pour toutes, pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court et met l'amour à mort.

Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute, l'amour existe encore.

. . .


Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a des mots que je ne dirai pas.
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres.
Je voudrais vous les dire et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas, je veux, je ne peux pas.
Je suis seule à crever et je sais où vous êtes.
J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître.
Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien.
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste.
Je n'arriverai pas, je veux, je ne peux pas.
Je devrais vous parler, je devrais arriver ou je devrais dormir.
J'ai peur que tu sois sourd, j'ai peur que tu sois lâche.
J'ai peur d'être indiscrète, je ne peux pas vous dire que je t'aime.

Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, et cours jusqu'à perdre haleine, viens me retrouver.
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ce jour-là, tu as de la peine
À trouver où tous ces chemins te mènent, viens me retrouver.

Et si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie s'installe en toi, pense à moi, pense à moi.

Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours, et cours jusqu'à perdre haleine, viens me retrouver.
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
N'attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t'emmène, viens me retrouver.
Et si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie s'installe en toi, pense à moi, pense à moi.

Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ce jour-là, tu as de la peine
À trouver où tous ces chemins te mènent, viens me retrouver.
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, et cours jusqu'à perdre haleine, viens me retrouver.

. . .


Tout
Tout est ici-bas
Le fruit d'un ventre rond
Plein de vie qui va
Le ventre d'un femme
Que l'ont aime
Que l'ont hait
Que l'ont sème

Mais
Silence se déploient
Les aile du vaisseau
Où elles couchent les rois
Où il boivent le sève
Qui soulève
Leur plus intriguant émoi

Toutes les femmes en moi
Sont éternelles
Enfant d'une étoile
Accrochée à un ciel
Qui les malmène
Et les vénère à la fois

Fois
Qui les tue, les bat
Au nom d'un nom sacré
Que l'on prononce pas
Car notre père dommage etj'enrage
Et un humain
Qui se noie

Qui
Ne regardera pas
La fillette aux yeux vides
Que l'on mariera
Envers et contre toutes les prières
Que sa mère prononcera

Toutes les femmes en moi
Sont souveraine
Je suis un peu chacune d'elle
Forte ou Fragile
Douce ou Rebelle
Toutes les femmes en moi se mêlent

Toutes les femmes en moi
Sont éternelles
Enfant d'un étoile
Accrochée a un ciel
Qui les malmène
Et les vénère à la fois
Fois

{{pASSAGE PARLER}}

On rêve toutes un peut
Des formes de monroe
Du verbe de djavan
Du courage de bhutto
Je rêve du jour ou enfin
Où un mec perdra les eaux
Et où l'on gagnera comme lui
Le salaire du guerrier
Mais aussi le repos
Se jour d'été suprême
Oû coulera a flots, l'eau qu'on suce à la terre
Et qui nous fait défaut
Ce jour qui peine à arriver
Alors
Que dans notre ADN
s'incrivent tous les torts
Et que dieu se rassure
On ne lui en veut pas
C'est a nos grandes ratures
Que l'on doit se karma
Dieu est un femme c'est sûr

Elle nous pardonneras
Elle nous pardonneras

{{PASSAGE CHANTER}}

Toutes les femmes en moi
Sont éternelles
Enfant d'une étoile
Accrochée à un ciel
Qui les malmène
Et les vénère à la fois

Toutes les femmes en moi
Sont souveraine
Je suis un peu chacune d'elle
Forte ou Fragile
Douce ou Rebelle
Toutes les femmes en moi se mêlent

. . .


O.K. il n'y avait rien à faire, O.K., dans cette ville étrangère.
O.K., tu étais solitaire, O.K., jai le cŒur à l'envers.
O.K., tout ça n'était qu'un jeu, O.K., on jouait avec le feu.
O.K., on s'est pris au sérieux, O.K., le rire au fond des yeux.

Nuit magique, une histoire d'humour
Qui tourne à l'amour quand vient le jour.
Nuit magique, on perd la mémoire au fond d'un regard, histoire d'un soir.
Nuit magique, si loin de tout sans garde-fou autour de nous.
Nuit magique, nuit de hasard on se sépare sans trop y croire.

O.K., c'est une histoire de peau, O.K., on repart à zéro.
O.K., on oublie aussitôt, O.K., qu'on s'est tourné le dos.
Nuit magique, ah ah ah, ah ah ah ah ah.

Nuit magique, une histoire d'humour
Qui tourne à l'amour quand vient le jour.
Nuit magique, on perd la mémoire au fond d'un regard, histoire d'un soir.
Nuit magique, si loin de tout sans garde-fou autour de nous.
Nuit magique, nuit de hasard on se sépare sans trop y croire, O.K.

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Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour inond'ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importent les problèmes
Mon amour puisque tu m'aimes

J'irais jusqu'au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J'irais décrocher la lune
J'irais voler la fortune
Si tu me le demandais

Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n'importe quoi
Si tu me le demandais

Si un jour la vie t'arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m'importe si tu m'aimes
Car moi je mourrai aussi
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu'on s'aime
Dieu réunit ceux qui s'aiment

. . .

Babacar

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