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Etant enfant
Je rêvais sûrement
De chants rimants
Hiver et printemps
Etant lentement
Egaré d'avance
Serti de sang
Je songeais longtemps...
Des reflets flottent
Entre nous deux
Image de cils
Qui traînent deux par deux
Des forêts nues sans feuilles
Ni feu
Comestibles
Rien qu'entre nous deux...
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Pour le peu je te pardonne
Qui l'en soit t'es si mignonne
Le jour ne s'arrête plus,
Je crois bien je suis déçu
Et le reste ne supose
Que les sensations si j'ose
Pour le peu, pour le peu
Pour le peu, pour le peu
Pour le peu je suis perdu
C'est un plaisir inconnu
Rêvons sans sort on s'en sort
On s'en sort une fois encore
Et le reste ne suppose
Que les sensations si j'ose
Pour le peu, pour le peu
Pour le peu, pour le peu
Et le reste ne suppose
Que les sensations si j'ose
Pour le peu, pour le peu
Pour le peu, pour le peu
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Qu'il neige encore
sur ce charmant décors
où plus rien ne se passe
où tout s'efface
Qu'il pleuve encore
sur ce triste sort
le noyer soudain
pour qu'il s'éteigne enfin
Rien ne peut changer
rien ne peut empêcher
rien ne peut changer
rien ne peut nous empêcher...
de vivre
Qu'ils chantent encore
de ces anges morts
que tout se fasse
sans pensées ni lasse
Rien ne peut changer
rien ne peut empêcher
rien ne peut changer
rien ne peut nous empêcher...
de vivre
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Rappelle-toi
Toi sur moi
Ces nuits passées entre tes bas
Rappelle-toi
Toi et moi
A gesticuler sur ces amas
Tout est perdu
Le haut est essentiel
(mais) ce superflu n'inquiète pas ma haine
Alors je vois
Que tu t'approches vers moi
Que tu reviens à moi
Et là comme un appas je te BROIS
Tout est perdu
Le haut est essentiel
(mais) ce superflu n'inquiète pas ma haine
Alors je vois
Rien n'est perdu
La nuit était essentielle
T'enfiler sous entendu
N'inquiète plus ma haine
Alors je vois...
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