|
|
2003 |
1. | |
2. | |
3. | |
4. | |
5. | |
6. | |
7. | |
8. | |
9. | |
10. | |
|
. . .
|
|
Entre nous,
C'est l'histoire
Qui commence au hasard
De nos yeux qui se cherchent
Entre nous
Entre nous,
De nos bras
C'est le temps qui donnera
Un premier rendez-vous
Entre nous
Entre nous, c'est le temps qui s'enfuit qui s'en fout
C'est la vie qui me prend dans son pouls
C'est le coeur qui avoue
Entre nous,
Entre nous,
C'est l'aveu qui nous brûle en dessous
De nos peaux que l'on frôle, jaloux,
De nos moindres secondes sans nous
Entre nous,
C'est toujours
C'est le contraire
D'un jour
Un voyage sans détour
Entre nous
Entre nous
C'est le fort, la raison et le tord
C'est l'envie qui nous mord dans le cou
Entre nous, c'est le temps qui s'enfuit qui s'en fout
C'est la vie qui me prend dans son pouls
C'est le coeur qui avoue
Entre nous,
Entre nous,
C'est l'aveu qui nous brûle en dessous
De nos peaux que l'on frôle, jaloux,
De nos moindres secondes sans nous
Entre nous,
C'est l'amour qui nous brûle en dessous
De nos peaux que l'on frôle, jaloux
De la moindre seconde sans nous
Entre nous,
C'est toujours
C'est le contraire
D'un jour
Un voyage sans détour
Entre nous.
. . .
|
|
Quand un peu d'eau se pose sur un désert aride
C'est la terre qui propose c'est le ciel qui décide
On se dresse une rose la lumière qui la guide
Je crois que c'est la vie
La vie qui gagne
Et ce sourire qu'un jour un visage nous dessine
Alors que pour toujours on marchait sur des ruines
Et tout ces mots d'amour que nos lèvres devinent
C'est bien la vie qui gagne
Comme une étoile
Sous le vent des montagnes
Comme un signal
C'est la vie qui gagne
Comme une histoire
Que ton rêve accompagne
Comme un espoir
C'est ta vie qui gagne
Une seule de tes caresses une seule de tes secondes
Comme une trace que tu laisses devenue si profonde
Et quand tes mains ne blessent plus personne au monde
C'est toute vie qui gagne
Comme une étoile
Sous le vent des montagnes
Comme un signal
C'est la vie qui gagne
Comme une histoire
Que ton rêve accompagne
Comme un espoir
C'est ta vie qui gagne
Puisqu'il faut choisir ou décider
Choisis la vie, choisis la vie laisse-la décider
Comme une étoile
Sous le vent des montagnes
Comme un signal
C'est la vie qui gagne
Comme une histoire
Que ton rêve accompagne
Comme un espoir
C'est ta vie qui gagne
Quand un peu d'eau se pose sur un désert aride
C'est la terre qui propose
C'est la vie qui décide
. . .
|
|
Temps,
Dans les lits défaits des rivières fatiguées
Temps,
Dans le ciel mué comme un grand glacier
Quelle chanson, quelle saison
Calmera la pluie sur la terre brûlée
Je ne sais pas
Le temps seul soufflera
Au delà des tranchées
Que l'on creuse en silence
Le vent se lève comme dans un mauvais rêve
La terre crève et soulève des rivières de sang
Temps,
Dans les ville glacées de la misère cachée
Temps,
Dans les rues vidées comme des forêts tombées
Quelle chanson, quelle saison
Calmera la pluie sur la ville oubliée
Je ne sais pas
Le temps seul soufflera
Au delà des tranchées
Que l'on creuse en silence
Le vent se lève comme dans un mauvais rêve
La terre crève et soulève des rivières de sang
Temps,
Pour l'amour qu'il nous reste
Temps,
Dans les lits défaits des rivières fatiguées
Temps,
Dans le ciel mué comme un grand glacier
Il faudrait beaucoup d'amour
Et de temps pour endormir la mort qui nous guette au tournant
Le vent se lève comme dans un mauvais rêve
La terre crève et soulève des rivières de sang
Temps,
Pour l'amour qu'il nous reste
. . .
|
|
Si j'avais su t'aimer
Avec des habitudes
Des petits déjeuners
Au lit d'la solitude
Si j'avais su te dire
Avec exactitude
Ce qui me fait mourir
De tant d'incertitudes
Si j'avais su t'aimer
Comme on aime ce qu'on cache
Comme on voudrait prier
Pour que rien ne se détache
Si j'avais su t'écrire
Ce qu'il faut que tu saches
J'aurais été moins pire
J'aurais été moins lâche
J'aurais refusé d'être sage
J'aurais donné bien davantage
De lumière à ton paysage
Si j'avais su
Si j'avais seulement vu sur ton visage
Ce qu'il faut d'amour et de rage
Si j'avais su, si j'avais su te mettre à nu
Si j'avais su t'aimer
Avant de te connaître
Avant de t'oublier
J'aurais menti peut-être
Si j'avais su mentir
Mentir ou disparaître
Apprendre à devenir
Une femme à la fenêtre
J'aurais refusé d'être sage
J'aurais donné bien davantage
De lumière à ton paysage
Si j'avais su
Si j'avais seulement vu sur ton visage
Ce qu'il faut d'amour et de rage
Si j'avais su, si j'avais su te mettre à nu
Si j'avais seulement vu sur ton visage
Ce qu'il faut d'amour et de rage
Si j'avais su, si j'avais su te mettre à nu
Si j'avais su t'aimer
Avant de te connaître
Avant de t'oublier
J'aurais brûlé ma lettre
. . .
|
|
Pendant que les autres avancent loin de moi
En attendant, en attendant, je reste là
Et comme une pause avant les grands combats
En attendant, en attendant, je ne me perds pas
Comme l'eau douce des rivières
Se déchaîne dans la mer
C'est un souffle en attendant
Que je retrouve l'âme et le sang qui brûle
Quatre pas en avant, tout tout bascule
Que m'importe le temps
En attendant, silence total
En attendant
Je vis dans des rêves qui vont loin là-bas
En attendant, en attendant, qu'on prie pour moi
Ma vie se soulève pour ceux qui y croit
En attendant, en attendant, que je devienne
Comme l'eau douce des rivières
Se déchaîne dans la mer
C'est un souffle en attendant
Que je retrouve l'âme et le sang qui brûle
Quatre pas en avant, tout tout bascule
Que m'importe le temps
En attendant, silence total
En attendant
En attendant la tempête
Que je parte à la conquête
De tous les océans qui dorment
En attendant
J'entends dans ma tête
Une musique qui se répète
Tombée en violant
L'âme et le sang qui brûle
Quatre pas en avant, tout, tout bascule
Peu m'importe le temps
Comme un rythme fou qui s'accélère
Emportée par le vent
En attendant.
. . .
|
|
Si je te dis qu'il y a en moi
Contre mon coeur le tien qui bat
Si je te dis accroche ton coeur caché en moi
Si je te dis qu'il y a en toi
À contre-coeur un coeur qui bat
Qui passe des heures à prendre peur quand il reçoit
Donne lui des ailes pour qu'il parvienne
À vivre libre dans mes veines
À voler ivre mais sans peines
L'amour explore
Nos trésors
Ce qui dort dans nos corps
Fort
Remplit d'or
Deux raisons qui ont tort
C'est nos faiblesses qui nous rendent fort
Si je te dis qu'il y a en eux
Trop de non-dits de désaveux
Si je te dis qu'on n's'ra que deux
Voudrais-tu mieux ?
Si je te dis qu'on n's'ra pas ceux
Qui se versent à boire dans les yeux
Qui cessent de croire aux mots précieux
Aux francs enjeux
Laisse un sourire sur ton coeur
Pour qu'il oublie toutes ses peurs
Et qu'il se batte pour un bonheur
L'amour explore
Nos trésors
Ce qui dort dans nos corps
Fort
Remplit d'or
Deux raisons qui ont tort
C'est nos faiblesses qui nous rendent fort
L'amour explore
Nos trésors
Ce qui dort dans nos corps
Fort
Remplit d'or
Deux raisons qui ont tort
C'est nos faiblesses qui nous rendent fort
. . .
|
|
Au soleil levant je m'étire doucement
Comme un bon moment qui prend son temps
Je me sens si bien au creux de tes mains
À midi tapantes j'suis en suspend
Au-dessus de toi comme protégeant
Ton regard brûlant d'un ciel éclatant
Je me sens comme un instant qui gagne ton temps
Comme une ombre
Je te suis et m'attache sans relâche
Comme une ombre
Je me trace et t'embrasse partout je passe
Comme une ombre
Chaque nuit je t'enlace sans que tu le saches
Comme une ombre
Derrière toi je me cache
Les après-midi aux pluies qui dansent
Mes ports sont présents de tes absences
De nos feux naissant aux calmes blancs
Et le soir tombant je cherche comment
Vivre sans lumière à coeur battant
Comme une ancre au fond de ton océan
Je me sens comme un instant qui gagne ton temps
Comme une ombre
Je te suis et m'attache sans relâche
Comme une ombre
Je me trace et t'embrasse partout je passe
Comme une ombre
Chaque nuit je t'enlace sans que tu le saches
Comme une ombre
Derrière toi je me cache
La nuit je ressens tes rêves d'enfants
La nuit passant j'attends
Pour que dans ta lumière je redevienne
Comme une ombre
Je te suis et m'attache sans relâche
Comme une ombre
Je me trace et t'embrasse partout je passe
Comme une ombre
Chaque nuit je t'enlace sans que tu le saches
Comme une ombre
Derrière toi je me cache
Comme une ombre
Je te suis et m'attache sans relâche
Comme une ombre
Je me trace et t'embrasse partout je passe
Comme une ombre
Chaque nuit je t'enlace sans que tu le saches
Comme une ombre
Derrière toi je me cache
. . .
|
|
Un père c'est un premier voyage
Dans le noir et sans âge
Qui nous lit à la mère
Un père c'est un premier amour
Avant de voir le jour
Dans un ventre où l'on tambour
Où ses mains nous entourent
Un père c'est une frontière qui sert
Un père c'est une barrière qui aide
Il nous offre les premiers pas
D'une vie de combat
Il nous venge chaque fois
Il nous rassure tout bas
Un pere c'est une première colère
Jaloux au bout des lèvres
Mais qui borde nos rêves
Un père c'est un premier bonheur
Une alliance autour du coeur
Qui dit oui a l'âme soeur
Creusant nos jours pleure
Un père c'est les heures qui espèrent
Un futur fait d'hier
Il nous confie une vie entière
De printemps et d'hiver
D'un baiser on le rassure
Un peu comme une mère
Un père c'est le dernier repère
Dans les bras de la terre
Une étoile qui eclaire nos envies
Un père
. . .
|
|
comme comme quand on suit le nord
je recherche encore nos corps à
corps
comme une bouteille à la mer
comme elle, je me perd
comme comme quand on aime fort
c'est de toi dont je rêve quand je
dors
j'irais où tu vis
j'irais où tu es
j'irais où tu sais
{Refrain:}
je vais te chercher partout
je vais te chercher à vie
je vais te garder
et te crier comme je t'ai aimé
je vais te chercher à vie
je vais te chercher partout
je vais te prouver tout l'amour que je
veux te donner
comme comme quand on joue avec le
feu
notre amour à brûlé peu à peu
je pourrais vivre en enfer
pour toi pour te plaire
et si demain tu voulais plus fort
que je conjure tous les mauvais sorts
je parlerais aux démons
aux mauvais, aux bons
{au Refrain, x2}
. . .
|
|
(Francis Cabrel)
Je vis dans une maison sans balcon, sans toiture
Où y a même pas d'abeilles sur les pots de confiture
Y a même pas d'oiseaux, même pas la nature
C'est même pas une maison
J'ai laissé en passant quelques mots sur le mur
Du couloir qui descend au parking des voitures
Quelques mots pour les grands
Même pas des injures
Si quelqu'un les entend
Répondez-moi
Répondez-moi
Mon cŒur a peur d'être emmuré entre vos tours de glace
Condamné au bruit des camions qui passent
Lui qui rêvait de champs d'étoiles, de colliers de jonquilles
Pour accrocher aux épaules des filles
Mais le matin vous entraîne en courant vers vos habitudes
Et le soir, votre forêt d'antennes est branchée sur la solitude
Et que brille la lune pleine
Que souffle le vent du sud
Vous, vous n'entendez pas
Et moi, je vois passer vos chiens superbes aux yeux de glace
Portés sur des coussins que les maîtres embrassent
Pour s'effleurer la main, il faut des mots de passe
Pour s'effleurer la main
Répondez-moi
Répondez-moi
Mon cŒur a peur de s'enliser dans aussi peu d'espace
Condamné au bruit des camions qui passent
Lui qui rêvait de champs d'étoiles et de pluies de jonquilles
Pour s'abriter aux épaules des filles
Mais la dernière des fées cherche sa baguette magique
Mon ami, le ruisseau dort dans une bouteille en plastique
Les saisons se sont arrêtées aux pieds des arbres synthétiques
Il n'y a plus que moi
Et moi, je vis dans ma maison sans balcon, sans toiture
Où y a même pas d'abeilles sur les pots de confiture
Y a même pas d'oiseaux, même pas la nature
C'est même pas une maison
. . .
|
|